Les allégations des idéologues arméniens contre la République de Turquie à propos du soi-disant génocide arménien sur la base de l'hostilité et soutenues par certains États visent à atteindre des objectifs politiques en falsifiant l'histoire. Cette opinion a été reflétée dans la déclaration de Bagdad Amreyev, secrétaire général du Conseil de coopération des États turcophones, concernant le soi-disant génocide arménien.
Selon la déclaration, faire des évaluations politiques et juridiques des événements, porter des jugements à leur sujet sans examiner les faits historiques et le faire, en particulier avec la haine collective, l'animosité historique et la vengeance, menace des valeurs telles que l'humanité, la conscience et la compassion, met en danger la coexistence des peuples dans la paix et la compréhension réciproque. Les conflits dans la région, les problèmes des réfugiés et des personnes déplacées sont principalement la conséquence logique de ces événements.
La déclaration indique que les relations internationales modernes et tous les événements tragiques qui se sont produits jusqu'à présent doivent faire l'objet d'une enquête transparente et équitable. En ce sens, l'initiative de la République de Turquie relative à la création d'une commission historique conjointe par des historiens pour étudier les événements de 1915 et d'ouvrir les archives est louable.
« Nous sommes convaincus qu'une étude et une évaluation impartiales des faits historiques par des scientifiques et des chercheurs éclaireront les événements survenus il y a 105 ans », indique le communiqué.
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