Comme nous l’avons déjà annoncé, lundi 7 août, les forces arméniennes ont tiré aux armes de gros calibre sur le village de Garalar de la région de Tovouz. Ramin Sabir oghlou Youssifov, âgé de 13 ans, a été blessé suite à ces tirs.
Ayant été interviewé par le correspondant de l’AZERTAC, Sabir Youssifov, père de Ramin, a souligné : «Notre ville est située à la frontière avec la région de Berd de l’Arménie. Notre maison se trouve non loin d’un poste de combat de nos vilains voisins. Notre village, notamment les civils subissent souvent des tirs arméniens. Mon fils Ramil a été blessé suite à une nouvelle provocation des Arméniens. Merci à nos médecins qui ont apporté les soins médicaux nécessaires à mon fils».
Il a fait savoir que les militaires arméniens visaient les civils, surtout les enfants. «Leur cible consiste à nous chasser de nos terres natales. Mais ils n’en parviendront jamais. Parce que c’est l’armée azerbaïdjanaise qui nous défend. Comme ils ont peur d’affronter les soldats azerbaïdjanais, ils tirent sur nos villages. Mais notre armée riposte dignement», a ajouté le père de Ramil.
La violation fréquente du cessez-le-feu par les Arméniens empêche les villageois de s’occuper des travaux agricoles. Leur maison, même leur bétail sont endommagés. S. Youssifov appelle les organisations internationales à ne pas rester indifférentes à ces faits. «Le 4 juillet dernier, Sahiba Allahverdiyeva, âgé de 51 ans et sa petite-fille Zahra Gouliyeva, âgée de 2 ans, ont été tuées, Servinaz Gouliyeva (52 ans) a été blessée par les forces arméniennes. Cette fois-ci, c’est mon fils qui a été pris pour cible. Jusqu’à quand les organisations internationales resteront indifférentes à cette injustice!?», a-t-il martelé.
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