Le chef de l'Etat a déclaré : « L'année dernière a mis en évidence beaucoup de choses, car en même temps, un élément nouveau est apparu dans nos relations avec la Russie, qui n'existait pas auparavant. Les relations azerbaïdjano-russes ont toujours été très positives. Mais l'année dernière, ces relations sont devenues plus dynamiques et il y a eu plus de contacts, notamment au niveau des présidents des deux pays et à divers autres niveaux. C'était une nouveauté pour nos relations et elle aurait pu créer des problèmes pour les relations bilatérales ou les renforcer. Je peux dire qu'en analysant l'année dernière et cette année, la mission de maintien de la paix a eu un impact positif sur les relations bilatérales avec les partenaires azerbaïdjanais. Donc, nous devons le savoir, les citoyens azerbaïdjanais doivent le savoir. »
Abordant les sujets de préoccupation, le président Ilham Aliyev a déclaré que plusieurs protestations avaient été faites officiellement à la Russie concernant des visites illégales. Les mêmes démarches ont été entreprises dans le cadre de la récente visite illégale de Valérie Pécresse. On nous a dit qu'ils ne l'avaient pas vue, qu'ils ne l’avaient pas su, qu'elle y était allée dans une voiture ordinaire, etc. « C'était un voyage organisé, car Valérie Pécresse ne pouvait pas s'y rendre avec l'accompagnement qu'elle souhaitait et y est allée avec un nombre très limité de personnes. Elle était accompagnée de l'ancien ministre français des Affaires étrangères, le commissaire européen Barnier. Ils y sont allés secrètement et en sont retournés. La nouvelle est venue après leur retour, ils avaient probablement peur que nous puissions les arrêter dans le corridor de Latchine. Car si nous savions qu'ils étaient là, nous ne les aurions pas laissés retourner, sans équivoque. Le corridor de Latchine est sous notre contrôle. Vous êtes allés à Choucha et vous l'avez vu. On peut y arrêter n'importe quelle voiture et personne ne peut rien nous dire », a dit le président Ilham Aliyev.
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